Jusqu'à tout récemment je croyais que la plus horrible histoire culinaire était cette anecdote racontée par D. et K., à propos d'un type chez PFK qui a commandé un contenant de sauce additionnel afin de le boire en entrée, avant de savourer son poulet. Cependant cette semaine, au Havre aux glaces du marché Jean-Talon, j'ai vu un homme lécher sans hésitation un billet de dix dollars sur lequel était tombé une goutte de sa crème glacée, avant de le tendre au caissier.
Qui dit mieux?
Des nouvelles de F. à 14:18
Je ne peux plus fermer les yeux sans voir descendre des pilules, sans les voir tourner et s'aligner selon leur couleur, sans voir des virus qui sont détruits. Bref, j'ai très mal dormi.
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J'ai appelé jeudi chez un luthier, le dernier sur ma liste (virtuelle) de luthiers intéressants chez qui chercher du travail. Mais il n'a besoin de personne. Quelqu'un sait combien ça paye, le bien-être social?
Les deux expositions auxquelles j'ai participé se sont très bien passées. J'ai rencontré des tas de musiciens qui ont adoré ce que je fais, j'ai distribué des dizaines de cartes. Tous me disaient être très intéressés, mais personne ne m'a rappelé. Vraiment, si toutes les promesses de commandes et de contrats qui m'ont été faites s'étaient concrétisées, j'aurais probablement du travail pour trente ans. En attendant, je cherche un moyen d'avoir l'argent pour quitter mon emploi et travailler à temps plein dans mon atelier.
Une solution, quelqu'un?
Des nouvelles de F. à 09:32
