lundi 3 décembre 2007

La tempête.

Je suis arrivé au travail une heure trop tôt ce matin, après avoir assisté à un concert donné à 7h30. Je me suis assis au parc et me suis laissé engloutir par la tempête. Disparaître. C'est peut-être ce que je préfère de l'hiver, et ce qui me fait le plus de bien. Ce qu'il me fallait.

Plus rien n'avance, ici. Je ne trouve plus le temps pour travailler dans l'atelier. J'ai un retard insensé dans ma correspondance (Sonia, je ne t'oublie pas...) et je n'arriverai jamais à élaborer ce plan pour mon site web.

Heureusement, il a neigé.